Je lis chacun de tes mots - O que descobri nele não foi a saudade mesma, que existe, mas a solidão encerrada numa palavra vazia. Les doigts croisés, tellement que ça me fait mal, en espérant que tu parles de moi juste un peu, qu'entre les lignes je puisse lire l'ennui, le regret, la peine, du chagrin que tu cacherais bien loin sous ta couverte de la Croix Rouge parce que fuck oui, i know.. je le sais que tu étais bien avec moi crisse, j'ai pas rêvé, j'ai pas rêvé. Avec google traduction, je traduis même le plus long de tes textes. Comme celui-là What I discovered was not the same nostalgia that exists but the solitude, in a closed empty word. Et comme une anonyme, je te réponds que j'aime donc ben ça ce que tu écris, même si je sais que tu sais, comme pour que tu ne m'oublies pas, jamais.
mercredi 31 mars 2010
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